En 1862, en un moment où Napoléon III se trouve face à des oppositions anticléricales, l’évêque de Chartres cherche à regrouper les catholiques certes dans sa cathédrale mais aussi dans les campagnes. Il a en sa possession une relique de saint Jacques et décide l’offrir à l’église Saint-Jacques de Montlandon. D’où la tient-il ? Est-ce l’une des deux reliques existant à Chartres avant la Révolution, l’une attestée à l’église Saint-André au XVe siècle, l’autre à l’Hôtel-Dieu au siècle suivant ? Le mystère demeure entier.